Affaire viol des danseuses : En fin Koffi Olomidé connaît son sort !

Le verdict sur le procès de Koffi Olomidé en France vient d’être rendu. Selon les avocats de Koffi Olomidé, Antoine Agbepa a été relaxé de toutes les accusations... presque toutes. Par contre, La star Congolaise du Tchatcho écope de deux ans de prison avec sursis pour atteinte sexuelle sur une fille mineure. Le parquet avait requis 7 ans de prison contre l’artiste Congolais lors d’un procès tenu le 11 février dernier à huis clos. À l’issu de ce procès, le juge condamne le patron du Quartier Latin à deux ans avec sursis, pour des faits commis entre 2002 et 2006.

Une bonne nouvelle chez les Koffiphiles et Koffillettes, enfin la star de la Rumba congolaise Koffi Olomidé connaît son sort: deux ans de prison avec sursis pour atteintes sexuelles sur mineure de moins de 15 ans. Telle a été le verdict rendu par les juges français ce lundi 18 mars 2019. Rappelons que lors de la dernière audience du 11 février 2019, le ministère public avait requis 7 ans de prison pour “atteintes sexuelles avec violence, contrainte, menace ou surprise par personne ayant autorité” et pour séquestration sur 4 de ses danses pour des faits commis entre 2002 et 2006.

Ce lundi 18 mars 2019, les juges français ont renvoyé l’accusé de toute poursuite sur l’ensemble des accusations portées contre lui à l’exclusion d’une d’elle qui a donc donné lieu à la condamnation à 2 ans de prison avec sursis. Pour les avocats de Koffi Olomide, ce verdict est une victoire face à l’ensemble du dossier de l’accusation. Ainsi avec le sursis l’artiste ne fera donc pas l’objet d’une incarcération, sauf en cas d’une nouvelle condamnation pour une autre infraction dans un délai de 5 ans. Ce qui réconforte l’artiste, ses avocats et son staff, car il pourra dorénavant faire le déplacement pour la France sans craindre d’être inquiété. Koffi Olomidé ne s’est pas encore exprimé sur la décision. Il a droit de faire appel de ce jugement et pourra bénéficier d’une peine moins lourde en cas de condamnation au second degré.